Nouvelles pistes pour la gestion de la valeur publique et rôle des laboratoires d’innovation politique à but non lucratif : laboratoires de co-expérience et de médiation sociale et Twitter
DOI :
https://doi.org/10.29173/cjnser668Mots-clés :
laboratoires d'innovation politique à sans but non lucratif, coexpérience, engagement des parties prenantes, Twitter, gestion de la valeur publiqueRésumé
La dernière décennie a été témoin devu l’essor mondial des laboratoires d’innovation politique (PILLIP), dont beaucoup plusieurs sont des organisations organismes à sans but non lucratif. Les décideurs politiques ont présenté les PILLIP comme une approche nouvelle pour résoudre les des problèmes économiques et sociaux urgents. Parallèlement à l’importance croissante des PILLIP, on a assisté à une transition vers une gestion de la valeur publique (PVM), qui se concentre sur les des résultats politiques qui profitent pouvant profiter au public ainsi qu’en s’adressant aux besoins et aux problèmes de la société. Un Dans un tel contexte, la co expérience, un processus relativement nouveau évoqué dans la littérature sur la gestion publique, est la co expérience, qui considèretient compte de l'engagement l’engagement des parties prenantes dans les politiques ou programmes publics dans le un contexte plus large de l'’expérience de vie. Selon les auteurs, il s’agit là d’une contribution importante à la création de valeur publique. Les plateformes de médias sociaux telles que Twitter (maintenant X) sont un outil que les PILLIP peuvent utiliser pour évaluer et développer la co expérience des parties prenantes. Les auteurs ont analysé 13 009 messages Twitter largement générés dans une grande mesure par des parties prenantes concernant associées à 42 PILLIP basés aux États-Unis.
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© Adam Wellstead, Rowen Schmidt , Angie Carter, Anat Gofen 2024
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